Transports du Congo (Transco) est critique, marquée par une gestion contestée et des tensions croissantes au sein du personnel. Transco est en train de sombrer dans la ruine, avec des accusations de mauvaise gestion qui pèsent lourdement sur la direction, notamment sur le directeur général Cyprien MBÈRE. Les employés expriment leur mécontentement face à une direction qu’ils jugent incapable de redresser la situation, ce qui a conduit à une atmosphère de méfiance et de frustration au sein de l’entreprise
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Des rumeurs circulent concernant des manœuvres orchestrées par certains membres du personnel, qui pourraient envisager un arrêt de travail. Ces actions seraient potentiellement soutenues par le comité en place, soulevant des questions sur leurs véritables intentions. Les agents de Transco s’interrogent sur la possibilité que ces mouvements cachent des objectifs plus sombres, menaçant ainsi les intérêts de la société
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La situation a été exacerbée par la suspension provisoire de trois directeurs par le ministère de tutelle, ce qui a alimenté des spéculations sur des tentatives de réintégration de ces directeurs malgré les accusations de mauvaise gestion qui pèsent sur eux. Cette dynamique interne pourrait aggraver encore davantage la crise au sein de Transco, qui peine déjà à maintenir ses opérations face à des défis structurels et financiers
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En somme, la Société de Transports du Congo se trouve à un carrefour critique, où la gestion actuelle et les tensions internes pourraient bien déterminer son avenir