HEn ce jour sacré du Dimanche des Rameaux, je refuse de rester dans un silence complice face aux attaques injustes dirigées contre Son Excellence Monseigneur Fulgence Muteba, Archevêque Métropolitain de Lubumbashi et Président de la CENCO. Ces attaques, orchestrées par des individus manipulés et relayées par des médias inféodés, visent en réalité l’Église elle-même, parce qu’elle ose dire la vérité.
Aux côtés de ses pairs de la CENCO et de l’ECC, Monseigneur Muteba s’est engagé dans une démarche courageuse pour la paix et la réconciliation nationale à travers le Pacte Social pour la Paix et le Vivre-Ensemble. Ce choix noble et cet acte prophétique dérangent ceux qui préfèrent le statu quo.
Il est essentiel de rappeler que Monseigneur Fulgence Muteba n’est pas un politicien. Sa parole, enracinée dans les valeurs de vérité, de justice et de paix, transcende les clivages partisans. Appeler à l’unité ne signifie pas prendre parti, mais plutôt éveiller la conscience collective de la nation.
Son honneur, sa dignité et le respect qui lui sont dus sont intangibles. Toute tentative de les bafouer est non seulement injuste, mais également inacceptable. L’Église n’est pas l’ennemie de la République : elle en est la conscience vivante, un phare guidant vers un avenir meilleur.
En tant que Chrétien et fervent Catholique, je dénonce ces attaques, je les condamne fermement, et j’interpelle la société à se lever pour défendre la vérité et la justice.
Ancien vice-ministre du Budget et professeur d’université, il rappelle que l’Église n’est pas l’ennemie de la République. Elle en est la conscience vivante
TROP, C’EST TROP !
Didier Mbongomingi